Quels ont été les défis les plus importants que vous avez rencontrés lors de vos premiers projets professionnels ?
Salut à tous, Je me demandais, en repensant à mes débuts dans le monde du travail, quels ont été les obstacles les plus marquants que vous avez dû surmonter lors de vos premiers pas professionnels ? Que ce soit un manque de compétences techniques, des difficultés relationnelles avec des collègues, des problèmes de gestion du temps, ou tout autre chose, je suis curieux de connaître vos expériences. Vos récits pourraient être très utiles pour ceux qui démarrent leur carrière. A bientôt !
Commentaires (10)
-
Pour ma part, je dirais que le plus dur, c'est de se faire prendre au sérieux quand on arrive avec plein d'idées neuves. Surtout quand on a un profil un peu atypique, on dirait qu'il faut en faire deux fois plus pour prouver sa valeur. Mais bon, ça forge le caractère, comme on dit !
-
Merci FennecArgenté pour ton retour ! C'est vrai que la question de la crédibilité, elle revient souvent, surtout au début.
-
C'est clair que la crédibilité, c'est un défi constant, surtout dans un monde où l'expérience est souvent perçue comme la seule mesure de la compétence. Dans ce contexte, je pense que cette vidéo peut donner des billes pour les entretiens, et donc potentiellement aider à se positionner plus vite comme quelqu'un de crédible :
Et si on vous disait que TOUS les candidats (ou presque) commettent les mêmes erreurs en entretien d'embauche ? Ce n'est pas ...[/video] 👀 En tout cas, merci d'avoir lancé le sujet, c'est toujours bon de se rappeler les bases et d'en parler ouvertement. 💪 -
Hello, Je voulais juste faire un petit retour concernant la vidéo d'Ulysse sur les entretiens. Je l'ai matée et j'ai appliqué quelques conseils lors d'un entretien récent. Eh bien, surprise, ça a plutôt bien marché ! J'ai senti que j'étais plus percutant et que j'arrivais mieux à mettre en avant ce que je savais faire. Après, est-ce que ça a joué sur le résultat final, je ne sais pas encore, mais au moins, j'ai eu l'impression d'être plus en confiance. Merci Ulysse pour le partage en tout cas !
-
Content que la vidéo ait pu t'aider, Feuillant52 ! C'est vrai que souvent, on se focalise sur les compétences techniques, mais l'art de se présenter et de bien communiquer, ça fait une ÉNORME différence. Surtout au début, quand on n'a pas encore un CV long comme le bras. Pour revenir au sujet principal du thread, mon plus gros challenge, ça a été de gérer l'écart entre la théorie et la pratique. À l'école, on te gave de modèles parfaits, de process optimisés... et puis tu arrives en entreprise, et c'est le bordel (avec tout le respect que je dois à mes anciens employeurs, hein ! ). Genre, on te parle d'agilité, mais en fait, tu te retrouves avec des cycles en V qui durent six mois. Et c'est là que le no-code/low-code prend tout son sens, selon moi. Ça permet de prototyper super vite, de tester des idées sur le terrain, de s'adapter aux VRAIS besoins des utilisateurs. Parce que bon, 70% des fonctionnalités développées finissent par ne jamais être utilisées, autant éviter de perdre du temps et de l'argent, non ? Surtout que d'après une étude de *Standish Group*, 31.1% des projets sont annulés avant d'être terminés, ce qui représente un gâchis énorme. Et parmi ceux qui aboutissent, seulement 52.7% des fonctionnalités sont utilisées après la livraison. Ça laisse songeur... Alors oui, y'a un enjeu de crédibilité, mais prouver par l'action, avec des résultats concrets, c'est souvent le meilleur moyen de convaincre. Au final, le plus dur, c'est pas tant de maîtriser les outils, c'est de changer les mentalités.
-
Tellement vrai.
-
AlgoRebelle79, ce que tu dis sur l'écart théorie-pratique, c'est exactement ça ! On te présente des schémas idéaux et puis paf, la réalité te frappe en pleine face. Et la statistique sur les projets annulés ou les fonctionnalités inutilisées, c'est assez flippant quand on y pense...
-
Mouais, le no-code, c'est une solution de facilité, je trouve. On finit par avoir des trucs moches et pas optimisés. Et puis, faut quand même des compétences techniques pour que ça tienne la route, hein. C'est pas en claquant des doigts qu'on devient développeur, faut pas se leurrer.
-
Je comprends ton point de vue, Résistant. C'est vrai que le no-code a ses limites, et on ne va pas se mentir, un site codé à la main par un pro sera toujours plus optimisé… en théorie. Mais la question c'est : est-ce que cette optimisation vaut le coup, compte tenu du temps et de l'argent que ça coûte ? Parce que si on regarde les chiffres, une étude de *Forrester* a montré que le no-code peut réduire le temps de développement de 50 à 74%. Ça veut dire qu'on peut lancer un produit ou une fonctionnalité beaucoup plus vite, et donc valider (ou invalider) une idée avant d'investir des sommes folles dans un développement custom. Et puis, l'argument du "trucmoche", je pense que c'est de moins en moins vrai. Les outils no-code ont fait d'énormes progrès en termes de design et de personnalisation. On peut faire des choses vraiment sympas, même sans être un expert en CSS. Après, c'est sûr que ça demande des compétences. Faut comprendre les bases du développement, savoir structurer une base de données, etc. Mais ces compétences sont beaucoup plus accessibles que celles d'un développeur full-stack. Et surtout, elles permettent à des profils différents (marketing, designers, chefs de projet…) de s'impliquer directement dans la création de solutions. C'est ça, pour moi, le vrai intérêt du no-code : ça démocratise le développement et ça permet de tester plein d'idées rapidement et à moindre coût. Et dans un monde qui bouge aussi vite, c'est un atout non négligeable. Et si on regarde les chiffres, *Gartner* prévoit que d'ici 2024, 65% des développements d'applications seront réalisés en low-code/no-code. C'est pas rien, quand même.
-
Alice au pays des merveilles50, ton argumentaire est très convaincant. J'ai toujours eu un peu de mal avec le no-code, mais tu m'as fait changer d'avis sur certains points. Pour revenir aux défis du début, je me souviens d'une fois où j'avais proposé une stratégie complètement novatrice pour une campagne. J'étais super emballé, j'avais bossé comme un fou sur le truc. Et là, le client me dit : "C'estintéressant,maisonvarestersurcequ'onconnaît". La douche froide ! J'ai compris que parfois, il faut savoir composer avec les habitudes et les préférences des autres, même si on est persuadé d'avoir la meilleure solution. Après, ça n'empêche pas de continuer à proposer des idées nouvelles, mais il faut juste trouver le bon timing et la bonne manière de les présenter.
Feuillant52
le 01 Mars 2025